Foire aux questions

L'organisation

Basé à Montréal, TES Canada («TES») développe des projets novateurs d'énergie renouvelable. L'actionnariat de l'entreprise est composé d'investisseurs canadiens et de Tree Energy Solutions.
Tree Energy Solutions est une société productrice d'hydrogène vert et de produits dérivés qui vise à accélérer la transition énergétique et l'abandon des combustibles fossiles. L'objectif de l'entreprise est de développer des projets de production d'hydrogène afin d'offrir des alternatives zéro émission aux secteurs des transports, de l'industrie et de l'énergie, et ce, dans une perspective d'économie circulaire.

Tree Energy Solutions développe des infrastructures de production, d'importation et d'exportation d'hydrogène en Europe, au Moyen-Orient, aux États-Unis et au Canada. Le siège social de la société est situé à Bruxelles, en Belgique.

À propos du projet

La production d’hydrogène

Le projet consiste en la construction d'un électrolyseur en Mauricie permettant de produire des volumes importants d'hydrogène vert à partir d'électricité de sources renouvelables et d'eau.

Un électrolyseur est un appareil destiné à effectuer une électrolyse, soit un processus qui engendre une réaction chimique comme la séparation d'atomes par le biais d'une stimulation électrique.
L'hydrogène (H) est un gaz très léger dont la formule chimique est H2. Il est inodore, incolore, non toxique et non corrosif. De plus, son utilisation ne génère que de la vapeur d'eau et n'émet aucun CO2, oxyde de soufre ou particules fines. Relativement facile à transporter, l'hydrogène a l'avantage d'être stockable et distribuable selon la demande. Finalement, l'hydrogène peut être consommé en tant que carburant, libérant trois fois plus d'énergie que les carburants dits traditionnels à masse égale.
L'hydrogène produit sera destiné à un usage exclusivement québécois. Il jouera un rôle complémentaire à l'électrification de procédés industriels et du secteur des transports (particulièrement pour le transport lourd et sur de longues distances).
L'hydrogène se trouve principalement dans des composés chimiques étant lié à d'autres atomes. L'hydrogène vert est fabriqué avec un procédé d'électrolyse de l'eau : les atomes d'hydrogène (H2) et d'oxygène (O2) sont séparés à l'aide d'électricité. L'hydrogène est considéré comme vert lorsque l'électricité utilisée provient de sources 100% renouvelables (hydroélectricité, énergie éolienne ou solaire) comme c'est le cas pour notre projet en Mauricie. La production d'hydrogène vert se démarque des autres procédés puisqu'elle n'entraine aucune émission directe de gaz à effet de serre.
L'hydrogène est utilisé depuis des décennies dans de nombreuses applications industrielles. L'hydrogène est très léger, contrairement à d'autres substances comme l'essence ou le méthane. Ainsi, en cas de fuites ou de rejets accidentels, il monte rapidement et se disperse dans l'atmosphère.

Comme pour tous carburants, des normes de sécurité strictes sont mises en place pour minimiser les risques liés à la production et à l'utilisation de l'hydrogène. Ces normes, appliquées depuis des décennies pour assurer la sécurité du public, régissent l'utilisation de l'hydrogène autant dans les procédés industriels que pour des usages énergétiques.

Le milieu d'accueil

À l'heure actuelle, TES Canada a entamé des discussions avec divers intervenants de Shawinigan et de la Mauricie afin de préciser les paramètres du projet et de discuter de l'implantation des installations nécessaires.
Il n'est pas anticipé que le tourisme de la région soit affecté par le projet. La région bénéficiera de ce projet novateur contribuant à la lutte contre les changements climatiques au Québec en produisant de l'énergie renouvelable.
Le secteur accueillant le projet est bien desservi par une autoroute et par le réseau ferroviaire. Ainsi, une hausse significative du volume de trafic n'est pas attendue.

Nous n'anticipons pas une hausse importante du volume de trafic durant la période de construction. Cependant, des mesures d'atténuation du trafic seront mises en place, si elles s'avèrent nécessaires, afin de ne pas nuire à la circulation locale.
Le projet devrait générer de la demande auprès de diverses entreprises, comme des fournisseurs de biens et services locaux, autant durant la phase de construction que d'opérations.
TES Canada a entamé et continuera de mener un processus de consultation. Des séances d'informations publiques ont eu lieu en novembre 2023 et les canaux de communication demeurent ouverts. Ces séances permettent au grand public de participer, de s'informer sur le projet, de poser des questions et d'exprimer son opinion.

TES Canada collabore avec l'ensemble des parties prenantes afin de les garder informées et de rassembler leurs questions et leurs préoccupations. Le projet sera assujetti au Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) dont la mission est de formuler des recommandations au gouvernement.

Les retombées économiques et la création d’emplois

Les retombées économiques seront importantes pour l'ensemble de la région d'implantation du projet, de même que pour le Québec. TES Canada estime la construction du projet à plusieurs milliards de dollars, ce qui permettra une diversification de l'économie régionale au profit de nouvelles sources d'énergie renouvelable.

Pendant la période de construction, ce seront plus de 1000 emplois qui seront générés. Lorsque l'électrolyseur sera actif, c'est plus de deux cents emplois de qualité dans une industrie verte qui seront créés.

Les besoins énergétiques de l’usine et la relation avec Hydro-Québec

Le projet sera principalement alimenté en électricité par une autoproduction d'énergie renouvelable, ce qui nous permettra de combler la majorité des besoins énergétiques.

TES Canada est en discussion avec Hydro-Québec et avec le gouvernement du Québec à cet effet. Nous envisageons des solutions d'intégration énergétique innovantes en vue de réduire au maximum l'impact sur la demande d'électricité reliée au réseau d'Hydro-Québec.

La construction de l'usine mettra de l'avant les critères d'efficacité énergétique et de récupération d'énergie dans ses cahiers de charge de conception et dans ses devis de construction.

Le projet prévoit faire partie des programmes de gestion de la pointe d'Hydro-Québec minimisant son impact sur la demande lors de périodes critiques.

L’autoproduction d’énergie renouvelable

Le projet prévoit développer sa propre production d'énergie renouvelable (autoproduction) utilisant une combinaison d'énergie éolienne et solaire.
L'autoproduction d'énergie renouvelable sera développée dans la région de la Mauricie. Les installations de production d'électricité seront disposées selon un schéma d'aménagement minimisant les impacts sur la région et dans le respect des réglementations en vigueur.

La carte préliminaire des zones constructible est sujette à changement. Elle montre des zones potentiellement constructibles et prend en considération les contraintes identifiées. À ce stade de développement du projet, il n'est pas encore possible de confirmer la localisation exacte des éoliennes.

Carte des zones constructibles (nord) Carte des zones constructibles (sud)
La diminution importante des coûts des panneaux solaires et leur gain en efficacité rendent économiquement viables des installations dans des zones plus au Nord. Le profil de production d'énergie solaire, qui atteint un maximum en été, est complémentaire à la production d'énergie éolienne normalement plus faible en période estivale.
L'emplacement de la zone de développement du parc solaire est en processus d'identification et n'inclut aucune zone agricole. Ainsi, le parc solaire devrait être implanté sur des terrains industriels ou sur des terrains zonés 'blancs'.

Le parc éolien

Le choix du modèle final des éoliennes pour le Projet Mauricie n'a pas encore été arrêté.

Nous estimons toutefois la hauteur des tours à environ 120 mètres au-dessus du sol et des pales d'une longueur d'environ 80 mètres.
Le Scientifique en chef du Québec est clair rien dans la littérature scientifique ne permet de conclure à un lien entre la présence d'éoliennes et des impacts sur la santé. Le Scientifique en chef s'appuie notamment sur des études de Santé Canada, de l'Institut national de santé publique du Québec et de l'Académie nationale de médecine de France.

L'utilisation d'éoliennes pour produire de l'électricité renouvelable est répandue mondialement. Les normes d'implantation bien définies font en sorte que ces équipements sont sécuritaires.

Certains avancent l'idée que les turbines produisent des ondes électromagnétiques nocives, ce qui est faux. D'ailleurs, les éoliennes produisent généralement moins d'ondes électromagnétiques que les appareils électroniques d'une maison « typique ». En ce qui a trait au climat sonore, les éoliennes produisent un son ayant un volume équivalent à un réfrigérateur à une distance de 500 mètres et qui diminue plus la distance augmente.

Scientifique en chef du Québec - 4 mythes sur les éoliennes
Il est vrai qu'il y aura une réduction de la superficie des terres agricoles. Une éolienne a une emprise au sol d'environ 0,1 hectare. Quand on tient compte des chemins d'accès et autres éléments du projet, on estime à 70 hectares (0,5 hectare par éolienne) l'emprise totale du volet éolien en milieu agricole. Le Projet Mauricie entend minimiser, autant que possible, les superficies affectées.

En fin de vie, il est prévu que l'éolienne soit démantelée et que la terre soit remise en état pour permettre l'agriculture. Les compensations versées aux producteurs agricoles prennent en considération cet impact sur la production.

De plus, ce projet développé sur des terres agricoles requiert l'autorisation de la Commission de protection du territoire agricole (CPTAQ).

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Le décret gouvernemental autorisant le développement du parc éolien contiendra une clause couvrant le démantèlement. Les frais de démantèlement seront assumés en totalité par le développeur et une preuve satisfaisante du mode de financement du démantèlement devra être fournie pour démarrer la construction.

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En fin de vie, il est prévu que l'éolienne soit démantelée et que la terre soit remise en état pour permettre l'agriculture. La loi exige qu'un minimum de 1m de la fondation soit retiré et remblayé avec un terreau propice à l'agriculture. Une décompaction du sol ainsi que l'ajout d'engrais peuvent être requis au travers du programme de remise en état.
Plusieurs études, dont une réalisée au Canada par l'Université de Guelph, ont conclu que la présence d'éoliennes n'avait en général pas d'impact sur la valeur des propriétés. Plutôt, la présence d'éoliennes permet de diversifier les sources de revenus, notamment des producteurs agricoles qui peuvent ainsi augmenter le rendement de leurs terres. Les municipalités touchées par le projet, ainsi que les propriétaires accueillants et demeurant à proximité des éoliennes, seront également compensées.

L'étude réalisée par l'Université de Guelph a analysé les ventes de plus de 1 500 fermes, ainsi que de plus de 5 400 résidences rurales en Ontario, et n'a trouvé aucun lien entre le prix et la distance par rapport aux éoliennes.

Pour plus d'informations, les sources sont disponibles en hyperlien ci-dessous. À noter que l'étude de l'Université de Guelph n'est disponible qu'en anglais.

Sources :

Scientifique en chef du Québec - 4 mythes sur les éoliennes

Développement durable de l'énergie éolienne - Considérations générales en matière d'évaluation foncière municipale concernant l'implantation d'éoliennes

Université de Guelph - Wind Turbines and Property Values in Ontario: Public Perception and Empirical Evidence
TES propose une structure de compensation communautaire et équitable entre toutes les parties prenantes. La durée initiale du projet éolien est de 20 ans plus une option de renouvellement.

Au total, les redevances sont estimées à 10.8 M$ par année. En effet, le projet versera $13,500 par MW installé et estime présentement la puissance totale du projet à 800MW. Ce paiement est réparti de façon égale, soit; $4,500 / MW au propriétaire recevant une éolienne, $4,500 /MW à la municipalité d'accueil et finalement $4,500 / MW séparé entre les "voisins".

Puisque nous estimons la capacité installée d'une éolienne à 5.56MW, les paiements annuels représenteraient donc $25,000 par éolienne, et ce, à chacune des trois parties prenantes.

Les citoyens à proximité (les "voisins") se sépareront un paiement collectif de 4 500 $ par MW. Ce paiement collectif pour toute la zone projet sera divisé à parts égales entre tous les citoyens à proximité des éoliennes.

Pour établir le nombre de résidents vivant à proximité de chaque éolienne, nous utiliserons la structure suivante :

  • Identifier les routes/rangs se situant dans un rayon de 1 km de chaque éolienne;
  • Définir le/les points entre la route/rang et le rayon de 1 km;
  • À partir de ce point, nous allons inclure tous les résidents vivant à 500 m en amont et en aval dans le paiement collectif.


Voici une image de la structure de paiement mentionnée plus haut.

Les éoliennes sont recyclables de 85 à 90 %. L'industrie continue de développer de nouveaux procédés pour augmenter ce pourcentage encore davantage.

En savoir plus
Le Projet Mauricie a une durée initiale de 20 ans. Cette durée peut toutefois être prolongée.

Les modèles les plus récents d'éoliennes ont une durée de vie pouvant aller de 25 à 35 ans typiquement.
Plusieurs études de cycle de vie ont été faites sur l'emprunte carbone des éoliennes. Typiquement il en ressort qu'entre 1 et 2 ans l'éolienne a produit davantage d'énergie qu'elle en a consommé.

Greenpeace - Quel est l'impact environnemental des éoliennes?

Scientifique en chef du Québec - 4 mythes sur les éoliennes
L'effet d'ombrage se produit lorsque le soleil est bas sur l'horizon et qu'il brille à travers les pales rotatives d'une éolienne, projetant ainsi une ombre en mouvement. En raison de la couverture nuageuse et d'autres obstacles, ce phénomène ne se produit généralement que quelques heures par an dans une direction spécifique.

Des mesures d'atténuation telles que l'arrêt temporaire de l'éolienne peuvent être prises pour éviter un impact sur les résidents à proximité. Une analyse de l'ombrage portée, pour chaque éolienne, fera partie de l'évaluation environnementale et sera soumise à l'examen du ministère de l'Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP).
Nous respecterons les exigences légales en matière de balisage des éoliennes fixées par Transport Canada, notamment concernant les besoins du transport aérien. Nous appliquerons la quantité minimale de balisage exigée par Transport Canada pour la sécurité du transport des avions. Nous analysons également d'autres mesures d'atténuation.

Environnement et GES

En exploitation, le projet génèrera des réductions de GES de l'ordre de 800 000 tonnes par an. C'est près de 1 % des émissions de GES de tout le Québec et l'équivalent des émissions de près de 220 000 voitures annuellement.
Le projet sera développé, construit et opéré en adoptant les meilleures pratiques de notre industrie afin de respecter le milieu d'aménagement et les réglementations environnementales, et ce, en collaboration avec des experts et des spécialistes en environnement afin d'assurer un minimum d'impact sur la faune et la flore locale.
Le projet prévoit produire environ 70 000 tonnes d'hydrogène annuellement, ce qui nécessitera 70 mètres cubes d'eau par heure. À titre de référence, la rivière Saint-Maurice a un débit moyen de 2 600 000 mètres cubes par heure. Dans le procédé d'électrolyse de l'eau, celle-ci est séparée en hydrogène (H2) et en oxygène (O2). L'hydrogène est par la suite utilisé comme carburant réagissant avec l'oxygène dans l'air dégageant de grandes quantités d'énergie et forme à nouveau de l'eau. L'eau revient donc à son état original.

De plus, le projet nécessitera une quantité additionnelle d'eau de refroidissement. Ces volumes d'eau sont pris et retournés à même la source, sans contamination ni transformation, dans un cycle durable.
Le procédé d'électrolyse ne génère aucune émission de GES. Quant aux émissions de GES liées à l'exploitation de l'usine, celles-ci seront négligeables.

Il y aura certes de faibles émissions de GES durant la période de construction, mais celles-ci seront plus que compensées par l'impact positif du projet sur la décarbonation du Québec. Pour chaque année d'opération, la production d'hydrogène du Projet Mauricie permettra au Québec de réduire ses GES de l'ordre de 800 000 tonnes de CO2 équivalentes.

De plus, l'efficacité énergétique des bâtiments du projet sera priorisée au sein des critères de conception des installations du projet. Le projet évaluera également les occasions de récupération des rejets thermiques s'intégrant dans la philosophie d'écosystème énergétique structurant du gouvernement du Québec.
Les risques sont faibles et le projet accordera une place prioritaire à la sécurité du milieu et des concitoyens. L'ensemble des installations sera construit selon les normes les plus strictes à cet égard.

Pendant les périodes de construction et d'opération, la sécurité des employés, des fournisseurs et des sous-traitants sera alignée avec les meilleures pratiques de l'industrie. TES Canada entend répondre aux exigences en vue d'obtenir les autorisations environnementales des gouvernements du Québec et du Canada, notamment au moyen du processus du Bureau d'audiences publiques en environnement (BAPE).
Dans le cadre du processus d'approbation réglementaire provincial requis, une évaluation environnementale est toujours faite éolienne par éolienne, ainsi que pour l'ensemble du parc et examinée par l'autorité provinciale compétente, soit le ministère de l'Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP). Des directives claires sont déjà en place pour baliser l'évaluation environnementale.

Les différentes études réalisées (inventaires, terrains, analyse des migrations, caractérisation des milieux, etc.) dans le cadre de l'évaluation environnementale nous permettent de comprendre comment le projet affecte l'environnement local, y compris la flore et la faune. Ces études seront menées par des spécialistes en environnement et elles guideront le développement du projet afin d'éviter ou de réduire l'impact potentiel sur la flore et la faune.

Plusieurs études ont été menées pour quantifier l'impact des parcs éoliens sur les populations d'oiseaux, notamment par la Société des ornithologistes du Canada et Oiseaux Canada.

Pour plus d'informations, la source est disponible en cliquant ici. À noter que l'étude n'est majoritairement disponible qu'en anglais.
Plusieurs études ont été menées sur le sujet et elles concluent à l'absence d'impact mesurable.

Pour plus d'informations, la source est disponible en cliquant ici.

Nos autres produits

La production de e-gaz, aussi appelée méthanation via le procédé de Sabatier, consiste en la combinaison de l'hydrogène vert (H2) et du dioxyde de carbone (CO2) de source biogénique dans une réaction chimique afin de produire du gaz naturel renouvelable synthétique (CH4) -- que nous appelons e-Gaz ou e-NG en anglais (pour « electric natural gas »). Le seul autre produit de la réaction est de l'eau (H2O) qui peut être recyclée dans la production l'hydrogène vert (H2) par électrolyse. La méthanation est une des techniques de production de Gaz Naturel Renouvelable (GNR) et une molécule carboneutre.
Le CO2 biogénique provient de sources biologiques comme la biomasse forestière, les matières résiduelles organiques, etc. Ces sources de CO2 font partie du cycle naturel du carbone et ne contribuent pas à l'ajout de nouveaux gaz à effets de serre dans l'atmosphère. La valorisation des rejets de CO2 biogénique s'inscrit dans une perspective de développement durable.
La méthanation est un procédé découvert en 1897 par les chimistes français Paul Sabatier et Jean-Baptiste Senderens pour lequel ils recevront le prix Nobel de chimie en 1912. C'est un procédé sûr et éprouvé depuis 100 ans qui permet de valoriser les rejets de CO2 et l'hydrogène vert (H2) en une molécule utilisable dans les infrastructures actuelles.

Relations avec la communauté

TES Canada est en lien avec les acteurs du milieu. Nous entendons déployer un plan de consultation avec l'ensemble des communautés locales, en plus de consulter et d'impliquer les parties prenantes très tôt dans le processus, et ce, tout au long de ce dernier.

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